A la différence des autres exercices de ce site, ce fichier n'est pas un parcours pédagogique complet, mais simplement une sélection de quelques exemples significatifs et géolocalisés de la destruction du littoral du Tohoku.

Des images prises par le satellite GeoEye quelques jours après le séisme et le tsunami du 11 mars 2011.
Ces documents (6 images-satellite et 11 localisations) ont été sélectionnés à partir du très volumineux fichier proposé par Google Crisis Response. Très (trop) dense, et, à mon avis, peu adapté à une utilisation en classe.
Pour un travail plus complet, voir la cartographie collaborative mise en place par Sylvain Genevois et Jérôme Staub sur le site de la veille géomatique de l'INRP.

Cliquer sur l'imagette pour accéder à la page "Géolocalisation"

L'occasion de (re)découvrir, vus du ciel et en 3D, les principaux châteaux du val de Loire.
Comme le précédent quiz sur "Tintin, témoin du XX° siècle", dix questions et trente réponses possibles, toutes géolocalisées.
Bon voyage.

Déjà présent dans le domaine artistique avec 14 tableaux du musée du Prado proposés dans Google Earth (voir le billet de janvier 2009), Google passe à la vitesse supérieure avec "Art Project" : un musée virtuel créé en collaboration avec 17 institutions reconnues - dont le Château de Versailles en France, le MoMA, le Metropolitan Museum of Art et la Collection Frick à New-York, la Tate Britain et la National Gallery à Londres, le musée de l’Ermitage à Saint-Petersbourg, la galerie des Offices à Florence ou encore le Musée Reina Sofía à Madrid – qui ont choisi les œuvres présentées.

On y retrouve une sélection d’oeuvres d’art célèbres, photographiées en très haute résolution et plus d’un millier d’oeuvres de plus de 400 artistes.
Des vues panoramiques à 360 degrés de chaque musée ont également été créées grâce la technologie Street View, disponible sur GMaps et GEarth et spécialement adaptée pour fonctionner à l’intérieur.

Il est aussi possible, à partir de GoogleEarth (version 6 seulement) de rentrer dans le musée et d’y circuler en déplaçant le « Peg Man » orange sur le bâtiment.

On peut ainsi parcourir virtuellement les galeries des musées, sélectionner une œuvre, et cliquer dessus pour la découvrir de plus près. Certaines œuvres (une par musée) ont été numérisées en très haute résolution (7 gigapixels).
Ces vues permettent de découvrir des détails infimes : les notes de musique et le globe céleste sur les Ambassadeurs de Holbein,

Sur la droite de chaque œuvre, un menu déroulant. Cliquer sur le « i » pour obtenir des informations complémentaires sur l’artiste, la date d’exécution, les dimensions de la toile, des vidéos, d’autres œuvres de cet artiste… (le tout en anglais).

L'outil « Créer une collection d'œuvres d'art » permet – mais il faut d'abord créer un compte Google - d'enregistrer des vues spécifiques de toute œuvre présentée pour créer sa collection personnelle. On peut y ajouter des commentaires et la partager avec élèves et étudiants pour travailler ensemble sur des projets de classe.

Tout n’est pas accessible (problèmes de droits d’auteur) et certaines zones dans les musées sont floutées pour protéger le copyright.
Un projet amené, selon Google, à s’étendre avec d’autres œuvres et d’autres musées.
Plus de détails sur les accords avec les musées, la technologie employée, les œuvres en très haute résolution sur le site officiel du Google Art Project.

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Un certain nombre d'oeuvres d'art ont disparu. En suivant Mercure, dieu des voyageurs et des voleurs, retrouvez-les.

Des sculptures, des peintures, de la littérature, de la musique, de l'architecture, du cinéma... une vingtaine d'étapes à travers le métro parisien et quelques bâtiments (en 3D) emblématiques de la capitale.